IMPERIAL TRIUMPHANT
+ WHITE WARD + FANGE + DECLINE OF THE I
vendredi 21 avril 2023 @ 19h00 23h30
Cerbère Coryphée, Dead Pig Entertainment & The Black Lab présentent :
IMPERIAL TRIUMPHANT (USA, Extreme Art Deco Jazz Metal, Century media)
Le trio New Yorkais a su imposer en quelques albums son interprétation complètement folle d’une musique quasiment indescriptible, Esthétique Art Deco Noir, Jazz grandiloquent et chaotique en collision constante avec le Death et le Black Metal. Un groupe définitivement aussi unique qu’intriguant et surtout extrêmement impressionnant sur scène, grâce à des musiciens en maîtrise totale de leurs instruments, à un point dépassant parfois l’entendement.
WHITE WARD (UA, Black Metal Jazz, Debemur Morti)
Les Ukrainiens de White Ward se sont distingués dans la scène européenne dès la sortie de leur premier album “Futility Report” sorti en 2017. Depuis le groupe a travaillé sans relâche sa mixture de Black Atmosphérique et de Dark Jazz, jusqu’en 2022 avec leur dernier album “False Light” où ils n’ont jamais été aussi prêt de la perfection.
FANGE (FR, Harsh Sludge Industrial Death, Throatruiner)
Le secret le mieux gardé de l’underground français s’apprête à tous nous exploser à la tronche avec leur nouvel album “Privation” pour lequel personne n’est prêt. Avec sa trajectoire l’ayant mené d’un Sludge ultra brutal jusqu’à se passer de batteur pour engendrer un style qui leur est tellement propre qu’on en perd nos mots, Death Industriel? Harsh Sludge? On s’en fout, Fange est unique, Fange est jusqu’au boutiste, et Fange va tout emporter.
DECLINE OF THE I (FR, Post Black Metal, Agonia Records)
“Initié en tant que projet solo, l’aventure spirituelle de Decline Of The I débute en 2006. Après un 1er triptyque musical s’articulant autour de l’œuvre du neurobiologiste Henri Laborit, c’est vers le philosophe, poète et théologien danois Søren Kierkegaard qu’une nouvelle trilogie s’amorce en 2021 avec “Johannes”, nouvel opus du quartet parisien. S’inscrivant dans la lignée de ses précédents albums, le combo continue à bouleverser les codes du genre pour servir un post-black introspectif aux sonorités torturées, s’insinuant dans les obscurs tréfonds du sombre esprit humain. à travers un tout d’une cohérence sans failles, ambiances rugueuses oscillant entre terreur lancinante et envolées de rage agressive, complainte progressant en une belle et lente agonie servie par une performance visuelle de grande intensité.”